La ville résiliente

La ville résiliente est le résultat de plusieurs principes : la ville durable, pensée pour préserver la qualité de vie des générations futures, la ville intelligente, basée sur les technologies pour améliorer la qualité des services et la réactivité, sans oublier l’anticipation des événements par la veille et la prospective.

La voie verte des mémoires ferroviaires

Référence pour l’intégration de la nature et des mobilités douces en ville, cet aménagement apaisé agit comme une réelle ceinture verte sur tout son tracé.
Son caractère assez isolé lui confère une ambiance de « havre de paix », à l’écart des nuisances urbaines. Il n’est d’ailleurs pas rare d’y croiser mésanges ou couleuvres… et pour cause, le projet a été conçu en partenariat avec France Nature Environnement et la Ligue de Protection des Oiseaux pour préserver et restaurer la biodiversité.
Le projet s’appuie également sur l’histoire : dessinée sur le tracé de la première ligne de chemin de fer d’Europe continentale, la voie verte constitue un des maillons de la voie verte des confluences.
L’intervention y a été limitée au strict nécessaire (revêtements de sol pour les cycles et piétons), en préservant le maximum d’espaces naturels et en conservant les traces du passé ferroviaire (rails, anciens équipements et signalétiques ferroviaires).

Favoriser la nature en ville

Le développement de la nature en ville répond à de nombreuses problématiques : perméabilité des sols, gestion de l’eau, captation de carbone ; préservation de la biodiversité, dépollution de l’air… Pour cela, il convient de :

Pousser nos ambitions en terme de reconstitution ou développement de la nature en ville.
Multiplier les actions pour favoriser les îlots de fraîcheur : limiter l’imperméabilisation, gérer l’albedo des matériaux…

Renforcer les mobilités douces

Le développement des mobilités dites douces contribue aux objectifs de décarbonation.

Avec le projet de prolongement de la Voie verte, des évolutions dans la conception de l’aménagement sont envisagées :

Doubler le nombre d’arbres, arbustes, haies et couvre-sol.
Concevoir l’espace avec un écologue.
Penser les interconnexions avec les pistes cyclables, ainsi que la desserte des lieux d’intérêt.